GENEVA CARE
Avec nous dans le futur, l’avenir de votre santé
Il est temps de remettre l’humain au centre des préoccupations, dans tous les domaines: Justice, Commerce, Recherche, Santé, Alimentaire, Bien-être, Social…
Avec en priorité, ceux qui payent et pas ceux qui veulent en profiter, que ce soit par le haut (actionnaires, banques, intermédiaires…) ou par le bas (avantages acquis par malice).
Et si nous disions simplement la Vérité

Le billet du Docteur
Recherche d’une nouvelle médecine
Dans notre société contemporaine, l’évolution des paradigmes place souvent l’idée, le concept et la rentabilité au centre des préoccupations, reléguant l’observation minutieuse, l’analyse approfondie et la sensibilité émotionnelle au second plan. Ce déplacement des priorités, bien que compréhensible dans une logique de performance et d’efficacité, soulève des questions fondamentales sur notre manière d’appréhender la réalité et ses implications sur notre santé.
Les avancées de la physique quantique, notamment le phénomène d’intrication quantique, apportent un éclairage fascinant sur la relation entre l’intention et la transformation de la matière. Ces découvertes, bien qu’encore en cours d’exploration, suggèrent que nos pensées et nos intentions profondes pourraient influencer notre environnement à un niveau plus subtil que ce que nous avions imaginé. Une telle perspective appelle à une réflexion renouvelée sur les trajectoires de nos vies, en particulier sur l’impact de nos choix et de nos habitudes sur notre santé physique et mentale.
Dans ce contexte, l’idée d’une « intrication linéaire » pourrait être envisagée comme un outil d’analyse permettant de détecter les déséquilibres ou « défauts de trajectoire » qui, à long terme, pourraient se manifester sous forme de pathologies chroniques. En étudiant ces trajectoires avec rigueur et méthode, il serait possible d’identifier des schémas récurrents ou des facteurs de risque souvent ignorés dans les approches traditionnelles.
Cette approche pourrait également transformer notre compréhension des maladies chroniques liées au temps et au mode de vie. En intégrant des principes issus de la physique quantique à des méthodologies médicales classiques, nous pourrions développer des stratégies de prévention plus efficaces et économiquement viables. Une telle démarche nécessiterait une collaboration étroite entre scientifiques, médecins et philosophes pour créer un cadre interdisciplinaire capable d’intégrer ces nouvelles perspectives.
L’exploration des liens entre intention, réalité et santé ouvre la voie à une médecine plus holistique et préventive. Ce changement de paradigme, bien qu’ambitieux, pourrait être une réponse pertinente aux défis contemporains liés aux pathologies chroniques et à la durabilité des systèmes de santé. Il appartient désormais aux chercheurs et aux praticiens de s’engager dans cette voie avec prudence, mais détermination, afin d’offrir des solutions innovantes et adaptées aux besoins de notre époque.
Seuls les vieux modèles peuvent faire le grand écart entre passé et futur.
Tout est une question de trajectoire : entre prévisibilité et imprévisibilité.
Dans notre monde, tout est régi par des trajectoires : des chemins que prennent les choses, les individus ou les événements, influencés par des causes et des circonstances. Ces trajectoires peuvent parfois sembler prévisibles, comme les lois mécaniques qui dictent le mouvement des objets, ou imprévisibles, comme le chaos qui régit certains systèmes complexes. Mais qu’elles soient linéaires ou chaotiques, ces trajectoires reflètent souvent la motivation ou l’intention initiale qui leur a donné naissance.
La théorie du chaos et l’effet papillon
La théorie du chaos nous enseigne que même dans des systèmes apparemment simples, de petites variations initiales peuvent engendrer des conséquences énormes. Cette idée est résumée par l’effet papillon : le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut, dans certaines conditions, provoquer un ouragan au Texas.
Dans la vie quotidienne, cet effet papillon est tout aussi évident. Une décision anodine – par exemple, choisir de prendre l’ascenseur plutôt que les escaliers – peut conduire à des conséquences insoupçonnées : rencontrer quelqu’un, éviter un accident, ou modifier son état de santé sur le long terme. Ces enchaînements sont souvent invisibles, mais ils façonnent nos vies. Pourtant, il est difficile, voire impossible, d’anticiper toutes les ramifications de ces choix initiaux. Cela souligne à quel point certaines trajectoires sont difficiles à prévoir, même si elles sont déclenchées par des motivations claires.

Des intentions initiales aux conséquences inattendues
On dit souvent que « l’enfer est pavé de bonnes intentions ». Cette phrase illustre parfaitement que, même lorsque les motivations de départ sont nobles, le résultat final peut être loin de ce qui était espéré. Un médecin prescrit un traitement pour soulager un symptôme, mais ce traitement provoque des effets secondaires à long terme qui s’avèrent plus problématiques que le symptôme initial. Une personne entreprend un régime draconien pour perdre du poids, mais finit par déclencher des troubles métaboliques ou des carences.
Ces exemples montrent que la trajectoire déclenchée par une intention initiale peut bifurquer de manière imprévue, surtout si on ne tient pas compte de toutes les variables ou de l’historique global de la personne.
La chronothérapie : une approche médicale basée sur la trajectoire
Le Dr Jean-Pierre Jubin, à Genève, illustre bien cette réflexion sur les trajectoires dans son approche médicale. Lorsqu’il est confronté à des patients pour lesquels ses confrères ont épuisé toutes les options thérapeutiques, il propose une démarche appelée chronothérapie. Plutôt que de se concentrer uniquement sur les symptômes récents, cette méthode consiste à retracer minutieusement la trajectoire de vie du patient.
Rechercher les premiers décalages
Le point de départ de cette approche est de rechercher le premier « léger décalage » dans la vie d’un patient initialement en bonne santé. Cela peut être un événement apparemment anodin : une mauvaise chute, un stress prolongé, une décision professionnelle, ou même un changement subtil dans les habitudes de sommeil ou d’alimentation. Ce décalage initial, même minime, peut avoir mis en branle une trajectoire qui, sur des décennies, a conduit à des déséquilibres majeurs affectant le bien-être du patient.
Établir une chronologie détaillée
La chronothérapie implique également de dresser une chronologie exhaustive des doutes ou problèmes de santé survenus au cours des 20 à 40 dernières années. Chaque épisode, aussi insignifiant qu’il puisse paraître, est une pièce du puzzle. Par exemple :
- Une douleur persistante dans l’épaule qui remonte à un accident mineur ;
- Une fatigue chronique apparue après une grippe mal soignée ;
- Un trouble digestif qui a commencé à la suite d’un régime restrictif ;
- Un stress psychologique qui s’est manifesté après un changement de poste.
Ces épisodes sont souvent négligés ou considérés comme indépendants les uns des autres. Pourtant, ils peuvent révéler une trajectoire délétère qui impacte la santé bien avant l’apparition des plaintes récentes.
Corriger une trajectoire délétère
Une fois la chronologie établie, l’objectif est de comprendre comment cette trajectoire a évolué pour mener à la situation actuelle. Cela permet de proposer des interventions ciblées, non pas seulement pour traiter les symptômes, mais pour corriger la trajectoire et restaurer un équilibre global. Par exemple :
- Réapprendre à bouger différemment pour compenser une mauvaise posture héritée d’un ancien traumatisme ;
- Revoir le rythme de vie pour réparer un déséquilibre circadien ;
- Ajuster l’alimentation ou l’activité physique en fonction des besoins spécifiques du corps.
La motivation comme clé de la compréhension
Si la trajectoire est si importante, la motivation de départ l’est tout autant. Comprendre ce qui a poussé une personne à adopter un comportement, à prendre une décision, ou à ignorer certains signes d’alerte est crucial pour intervenir efficacement. La motivation peut éclairer les choix passés et ouvrir la voie à des changements plus alignés sur le bien-être futur. En médecine, comme dans la vie, ce sont souvent les intentions qui orientent les trajectoires. Et même si elles ne garantissent pas toujours un résultat prévisible, elles fournissent un point de départ essentiel pour toute analyse.
Conclusion
Notre monde est fait de trajectoires, certaines prévisibles, d’autres dictées par le chaos et l’imprévu. Mais quelles qu’elles soient, elles ne sont jamais aléatoires : elles résultent de motivations initiales, d’événements externes et de bifurcations subtiles. En prenant le temps de les analyser, comme dans la chronothérapie, on peut espérer corriger des déséquilibres, restaurer l’harmonie et éviter que de petites déviations ne se transforment en grands désastres. Tout est une question de retour aux origines et d’écoute attentive de ces trajectoires, souvent silencieuses, qui dessinent nos vies.
Geneva Care. Et pourtant…
… Nos ancêtres, alors qu’ils avaient le temps pour eux, disaient déjà : « L’ENFER EST PAVÉ DE BONNES INTENTIONS. » Faut-il en rappeler la signification ?
Si vous vous écartez d’une analyse purement rationnelle et mathématique d’une situation, que ce soit pour des raisons liées à des croyances religieuses, des concepts philosophiques, des émotions ancrées dans l’éducation ou le vécu, qui sont par nature restrictifs, vous posez inévitablement les bases d’un chemin qui pourrait vous conduire à votre propre enfer.


Pour une nouvelle médecine
Tout dépend des trajectoires, entre prévisibilité et imprévisibilité. Les trajectoires sont influencées par des causes et des circonstances, parfois prévisibles, parfois imprévisibles. La théorie du chaos enseigne que de petites variations peuvent avoir de grandes conséquences. L’effet papillon illustre ce concept. Les choix initiaux peuvent avoir des conséquences inattendues, même avec de bonnes intentions. La chronothérapie du Dr Jean-Pierre Jubin se concentre sur les trajectoires de vie des patients pour identifier les décalages initiaux et les corriger. La motivation initiale influence fortement les trajectoires. Les intentions collectives peuvent dicter des trajectoires problématiques. Les peurs peuvent affecter la santé, modifiant l’ADN et contribuant à certaines maladies. Traiter les peurs, réduire les contraintes et réaligner les ambitions peuvent aider à guérir. La médecine centrée sur la personne implique de comprendre en profondeur l’histoire de chaque patient pour une guérison holistique.

« Intrication quantique et illusion de communication : plaidoyer pour une ontologie non-locale de l’espace-temps »
Dr Jean-Pierre Jubin
🧩 Introduction
Depuis Einstein, la notion d’intrication quantique dérange. Elle semble défier la causalité, la localité et la représentation classique de l’espace-temps. On parle souvent de « communication instantanée » entre particules intriquées, une image séduisante, mais trompeuse.
Je propose ici une alternative radicale : les particules intriquées ne communiquent pas. Elles ne sont pas séparées, elles sont les manifestations locales d’une structure unifiée, née d’un même paquet d’ondes d’information situé dans une quatrième dimension floue — un espace-temps sous-jacent où toutes les possibilités coexistent.
🌌 1. Une quatrième dimension floue et pré-réelle
La quatrième dimension n’est pas simplement une coordonnée temporelle additionnelle. C’est un état de superposition spatio-temporelle où ni l’espace ni le temps ne sont encore figés.
Tant qu’aucune trajectoire n’est choisie, le réel n’est pas encore cristallisé. Ce champ de potentialité peut être compris comme une généralisation cosmique de la superposition quantique : non plus d’états d’une particule, mais de structures d’univers.
⏳ 2. Le figement : naissance de l’espace et du temps
Lorsqu’un système (ou une conscience) choisit une trajectoire, alors seulement l’espace et le temps prennent forme. Ce figement correspond au collapsus ontologique : une version élargie de l’effondrement de la fonction d’onde.
C’est par cette « cristallisation » que l’on passe d’un champ global flou à une réalité tangible, mesurable. C’est un acte de sélection — ou d’incarnation.
🧠 3. Une structure globale en superposition
Je postule que l’intrication naît non pas d’un lien réactif entre deux entités, mais de leur coappartenance à une onde commune, un paquet d’information vibratoire, qui voyage non pas dans l’espace classique, mais dans cet espace-temps superposé.
Ce n’est pas la particule qui « parle » à l’autre, c’est l’unité du champ d’origine qui se révèle simultanément, en deux lieux apparemment distincts.
📡 4. La non-communication comme expression d’unité
Cette vision rend inutile toute hypothèse de transmission supraluminique ou de communication post-mesure. Les corrélations ne sont pas envoyées, elles sont déjà là, enracinées dans une structure non-locale préexistante.
Dans ce modèle :
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La mesure est une actualisation locale d’un état global.
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L’information n’est pas transférée, mais reflétée dans chaque point d’émergence.
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L’intrication n’est pas un effet, c’est un indice de notre mauvaise lecture du réel.
🔭 5. Implications scientifiques et philosophiques
Cette approche :
-
Préserve la relativité restreinte (aucune violation de vitesse de la lumière).
-
Fournit une explication cohérente de la non-localité.
-
Redéfinit l’intrication comme co-manifestation structurelle, non comme interaction.
Et surtout, elle déplace la pensée :
Ce n’est pas la matière qui engendre l’information.
C’est l’information qui engendre la matière.
🧶 Conclusion
Il est temps de sortir du cul-de-sac conceptuel d’une « communication quantique ». En considérant que les particules intriquées n’ont jamais été séparées, nous retrouvons une ontologie où l’unité précède la multiplicité.
Nous ne devons pas chercher comment les particules communiquent.
Mais pourquoi les avons-nous imaginées séparées ?
Analyse mathématique
Pourquoi mathématique ? Parce qu’un résultat mathématique a la particularité d’être potentiellement universel, exempt d’influences émotionnelles, religieuses ou éducatives, tant pour les concepteurs que pour les utilisateurs du protocole d’étude. En d’autres termes, il offre une base objective et solide sur laquelle s’appuyer.
Cependant, même dans ce cadre rigoureux, les analyses du passé restent indispensables. Elles servent à établir des probabilités pour l’avenir, permettant ainsi d’orienter nos actions vers une prévention éclairée, dénuée de rêves illusoires ou de fantasmes irréalistes. C’est cette alliance entre la rigueur mathématique et l’expérience empirique qui ouvre la voie à des décisions réellement pertinentes.

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Quelques groupes scientifiques en avance sur leur temps
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